Summary
La réunion a porté sur le développement des filières de formation pour les ambulanciers en Suisse, en comparant avec d'autres professions de santé comme les sages-femmes ("hébammes"). Les participants ont discuté du passage potentiel d'une formation ES (École Supérieure) vers une formation HES (Haute École Spécialisée) et des avantages que cela représenterait pour la profession, les patients et le système de santé.
Notes
Transcript
Il y a un chemin à suivre, avec les hébammes c'était différent de ce qu'il y a avec les labyrinthes. Ce qui est intéressant c'est qu'ils ont commencé l'année dernière avec l'enseignement pilote, le bachelor et le ZHW et qu'il y a encore du HF. C'est une petite entreprise qui fait du HF et du METTLER. Une solution d'accès ? Oui, une solution d'accès. Mais elle ne sait pas encore combien de temps ça va durer.
Elle dit qu'il y a environ 80 diplômés qui s'étaient engagés pour le Bachelor. pour l'expédition de l'air.
Peut-être que ce n'est pas tout à fait comparable, c'est sûr que Labo est moins pratique que nous, ou même avec Hebam, c'est moins comparable. Ce processus était très similaire à celui de l'Association Libanaise. Elle a aussi dit que le Bureau de Travail était le guide de ce processus.
La santé de l'ODA était trop loin, comme elle l'a dit. Ce qui est intéressant, c'est que vous avez demandé de l'argent pour une analyse. Pas un SPFI, un SPFI en français, je ne sais pas, un SEFRI, il demandait pour l'argent pour une étude de base.
J'ai eu l'impression que c'était compliqué, mais vous avez réussi à le faire. Vous avez donc pu appeler un chercheur de l'éducation, qui va vous aider à développer cette technique. Elle a aussi mentionné qu'il pourrait y avoir un équipe d'études, un maître-étudiant, etc.
et qui pourrait nous soutenir pour qu'il y ait une base solide.
Mais c'est intéressant, comme vous l'avez dit, nous pouvons vous contacter si vous avez des questions. La création du curriculum pour l'enseignement bachelor a été une travail d'expertise.
L'analyse elle est pour la formation ? L'analyse, c'était pour l'analyse, pour le métier, c'était l'analyse pour le métier, pour le début. Comme vous faites maintenant avec cette enquête, c'est un peu ça, je vous demandais pour l'argent parce qu'il n'avait rien trouvé, personne trouvé pour une enquête comme ça. Je vous demandais pour l'argent, il demandait un explorateur professionnel pour...
J'ai bien compris, ils sont déjà HF. Ils étaient HF? HF et FH. Ils ont maintenant commencé en plus avec FH. Et maintenant ils font des analyses? Non, c'était une précédente. Le processus. Ah, c'est le même. Et ils ont commencé exactement le même que nous.
Et l'Association du Travail a dit qu'ils devaient s'améliorer. Et qu'ils voulaient ouvrir plus souvent l'accès à l'université. C'est exactement le même processus que nous. Oui, oui. Savons-nous combien d'argent on a dépensé? Je ne sais pas, mais je pourrais en demander.
Elle a dit que ce n'était pas très simple, mais qu'elle n'avait pas d'autre choix. Peut-être que nous devrions le faire aussi, mais je ne suis pas convaincu. Ce qui serait intéressant, c'est de savoir avec quels arguments vous êtes d'accord. Ce n'est pas que l'SBFI est enthousiaste de l'échange HF-FH, c'est qu'elle soutient l'analyse et finalement...
Ce sont aussi les derniers qui ont été mis en place en matière de santé depuis les dernières années.
D'un autre côté, est-ce qu'il y a d'autres points importants depuis la dernière fois ?
J'ai entendu parler d'un projet qui a été fait en trois langues pour l'évaluation de l'art. la faisabilité d'une formation pour les chemuristes. Maintenant que je travaille à Genève, c'est là où je travaille, mais il y a plusieurs... Pour les médecins ? Non, pour les ambulanciers. Ah, les qui conduisent ? Voilà, et qui assistent. Ouais, qui assistent.
Ils ont fait tout un projet qui a été avorté. pour des problèmes de timing, de traduction et tout ça. Je leur ai parlé du kick-off, ils sont très intéressés pour rejoindre aussi l'équipe si c'est possible. J'ai demandé qu'il m'envoie un résumé de où ils en étaient, comme ça je vous le transmettrai. Pour le travail qu'il a déjà fait. Il voulait faire une formation après le diplôme d'ambulancier, spécifique pour les...
les ambulanciers qui travaillent soit à l'ARREGA, soit dans les services de renfort médicalisé.
qui travaillent toujours avec un médecin. Ouais, c'était pour mettre du crédit et de la valeur à ce travail qui est un petit peu différent du travail d'un médecin. C'est qui qui a initialisé ? C'est Laurent Suppon, qui est un des médecins à lieu. du SMUR de Genève, avec l'école d'ambulanciers de Genève.
C'est une formation pour les soignants et les soignantes qui assistent aux médecins d'urgence. Nous n'avons pour cette fonction aucun nom propre. Dans la Suisse de l'Ouest, il y a un nom propre pour cette fonction. Et tu es le securiste. Securiste, oui.
Parce qu'ils assistent aux médecins d'urgence. C'est ce qu'on voulait faire, mais ça a été retiré parce qu'il n'y avait pas d'actualité et qu'on n'arrivait pas là-dessus. On regarde aussi notre direction, comment ça se développe. En Allemagne, ce n'est pas un thème, nous avons des travailleurs de Kato, qui ont des connaissances et des connaissances, et qui prennent toujours la même direction.
de l'intervention. C'est le médecin et le chef de l'intervention. Mais ce sont toujours les ambulanciers. Oui ce sont toujours des ambulanciers aussi.
Comme tu l'as dit, la médecine, la médecine de l'ambulance, la médecine de l'ambulance, la médecine de l'ambulance, et la médecine de l'ambulance, sont maintenant au service de la santé. Je vois que tout le monde est d'accord.
Alors, je vous propose de commencer avec le premier workshop.
L'idée c'est de faire une situation d'origine à partir de notre perspective professionnelle. Nous portons toutes nos expériences de différents domaines. Nous travaillons tous depuis longtemps dans le domaine de la réduction et avons notre perspective.
Nous créons également 4 flippcharts. Quels sont les besoins à venir ? à l'égard des patients, à l'égard de notre service de réparation, à l'égard de la société et du système de santé. Et quel est l'influence sur nous ? Si vous connaissez des publications ou des études qui soutiennent ce que nous écrivons, nous pourrions écrire ce que nous écrivons.
C'est peut-être vérifié, mais nous avons peut-être une idée à cause de nos expériences. Et puis nous pouvons écrire ce qu'il s'agit. Le but est d'obtenir 4 placards. Patient, industrie, société et système de santé. J'aimerais qu'on fasse ça en deux groupes, mais on peut aussi faire ça ensemble. J'aimerais qu'on fasse ça en deux groupes, un en français avec Ibu, et l'autre en allemand. On peut aussi aller dans un autre espace, si vous voulez. C'est ok, ou voulez-vous qu'on fasse ça ensemble ?
Il y a deux groupes, je pense que la discussion peut être intéressante. Vous pouvez écrire en français si vous voulez. Nous allons dans un autre espace, vers le haut, et nous ferons la même chose. Et puis on pourra peut-être regarder ça. C'est de la méthodique, c'est comme ça que nous faisons. Combien de temps nous avons besoin pour cela ? 30 minutes ? 30 minutes. Si vous avez une question, un problème, peut-être que c'est plus facile de téléphoner, parce qu'on est en haut dans le premier étage.
Parce qu'on joue au baby-foot. Oui, on a 5 minutes de travail. Est-ce qu'on va nous en haut peut-être ? Nous, on doit rester là aussi.
Le français ça va, c'est juste nous, ça va aussi ou bien pas ? Merci d'avoir regardé cette vidéo, n'hésitez pas à vous abonner à la chaine pour d'autres vidéos Merci d'avoir regardé cette vidéo, n'oubliez pas de vous abonner à notre chaîne pour ne manquer aucune de nos nouvelles vidéos !
C'est tout nouveau, c'est la première règle du rock'n'roll. À tout à l'heure! On peut entrer à l'arcade. C'est bon, il pourrait venir en ligne. Il pourrait probablement venir en ligne. D'accord, c'est bon. À plus tard. Sous-titres réalisés para la communauté d'Amara.org
C'est le secteur préhospital, c'est pas les services, c'est les sociétés, c'est la société en général ou c'est les services d'ambulance ? Non, je pense société, c'est la société en général, mais le secteur, c'est les services d'ambulance. Les employés.
Et employés. Employés, employés. Ouais, c'est comme ça.
Il est mort ? Oui, il est au bout là. Je pense que c'est très tordant. Je n'arrive pas à le connecter. Mais bref, il n'en reste pas besoin. Ok. Donc vous voulez cliquer sur le picture ? Ouais ou bien là-dessus c'est-à-dire ? Hum hum.
J'mets quoi, j'mets les 4 catégories ? Ouais, tu peux mettre les 4 catégories, ouais. Moi...
Avec Samuel, on a pu un peu discuter dans le train en venant ici, mais moi j'ai partagé ça. A mon avis, c'est la question la plus importante. à laquelle on doit essayer de trouver des réponses ou des estimations. Quand je regardais les variantes qui sont proposées,
je me disais elle profite à qui chacune de ces variantes et puis ma crainte ou ma préoccupation c'est que essentiellement ça profite aux secteur. Les variantes qu'on va proposer ça profite aux ambulanciers qui voient leur carrière pouvoir se développer, qui sont stimulés, qui sont... alors ça je pense qu'il n'y a pas trop de doute même s'il y a aussi...
une certaine partie de ce groupe qui verra ça plutôt comme un risque que comme une opportunité mais en fait quels seront les quels seront les besoins futur pour les patients et le système, donc la société, alors ça, il faut clairement les identifier parce que c'est là qu'il faut qu'on mette l'énergie.
Aujourd'hui de mon expérience, si on parle du système et de la société, si on parle avec les politiques... leur réponse c'est mais pourquoi vous l'échanger ça marche très bien et qu'est-ce que ça a coûté exactement et donc Je pense qu'il faut qu'on réfléchisse sérieusement aux besoins futurs du système et des passions et de la société parce que c'est un peu juste ça, je me dis ça me fait rêver cette formation HES, cette ASREL, un PhD en sciences paramédicales et tout ça.
C'est évidemment ce dont je rêve, mais je pense que ce n'est pas le bon regard qu'on doit avoir là-dessus parce que ça ne peut pas passer la rampe si on ne trouve pas les éléments, les arguments qui vont... valide ça au niveau systémique. Pour lancer un peu le débat puis les idées, j'ai envie de lancer de manière provocative, provocatrice. Moi je suis pas convaincu qu'on ait besoin de changer.
Je suis un fervent partisan, mais franchement je vous lance ça quoi, moi je suis pas convaincu qu'on a besoin de changer parce que le système aujourd'hui il fonctionne, il va arriver dans un mur, ça c'est pour ça qu'on est là, on l'identifie, on le sait, mais j'aimerais bien qu'on m'explique pourquoi il faut changer en fait.
Dans les quinze minutes, il y a une ambulance, il y a un professionnel de la santé dans à peu près toutes les régions de Suisse, il y a quelques épis, phénomènes, problématiques, mais globalement, c'est la réponse des politiques que moi j'ai entendues avec différents projets.
Il n'y a pas besoin. Il y a besoin pour vous, c'est cool. Pour la société, il n'y a pas besoin. Je ne sais pas ce que tu en penses. Non, c'est juste. Ce que je pense, moi, c'est que quand on veut changer un système, il faut toujours repenser à tous les éléments qui sont dans ce système.
tous les stakeholders, ce qu'il faut aussi considérer quand on fait un changement de curriculum, un des premiers trucs qu'on fait, ça je l'ai discuté avec AJ parce qu'il a fait le MMI, c'est le Master of Medical Education, où c'est justement des questions qui se posent et le premier pas qu'on fait c'est un need assessment, c'est ce qu'on aura besoin, c'est la question que tu poses.
Et moi, j'argumenterais dans le contexte, et je n'ai pas toutes les réponses définitives, mais que c'est un événement, c'est un phénomène qui a été observé à l'étranger depuis longtemps. Ok, oui. Notamment, le UK, les pays anglo-saxons. et qu'ils ont eu justement cette problématique qu'il y avait des professionnels qui allaient sur des missions qui n'étaient pas leur répétoire.
Après aussi tout ce qui est le côté contexte économique où il y a des recherches qui montrent que si on arrivait à changer le système et former les personnes dans une manière pour répondre à des demandes que ça évitait de les hospitaliser et que ça faisait une économie
c'est économiser de l'argent, mais je suis d'accord avec toi qu'il ne faut argumenter pas par rapport à la politique de la profession, parce que pour nous c'est clair, ça ferait plaisir, on peut se développer, mais aujourd'hui on n'a pas encore les carrières, on n'a pas encore les postes qui n'existent pas, et de toute façon ça devrait être payé par l'État.
Donc on doit argumenter. Et l'argument, c'est d'être pour le système et pour le patient, a priori, et après si l'on veut en bénéficier, d'atomier. Et pour répondre à ta question, je pense que c'est la société qui change, la demande qui change et nous on fait partie d'un système de la santé, on est très important, on est primordial et on fait partie de la grande first order mondialement, c'est le primary care, comme en français vous dites, les soins primaires, exactement.
On fait partie de ce système, donc nous on envisage les problématiques que tout le système sanitaire envisage et que nous on doit trouver pour, comme on est un prestataire, les réponses pour ces besoins. Et en fait, ce que j'ai un peu lu, avec mon badge de Réminsta, parce que ça m'a toujours très occupé, ça m'a toujours très intéressé, c'était un peu la même chose, c'est que les gens se sont posé les mêmes questions que nous.
Dans ce système, ils ont dit qu'il faut adresser à ces problèmes. Parce que d'attendre qu'une fois un politicien vienne, déjà sur notre secteur qui ne s'intéresse pas trop grand, s'ils appellent 144 ils veulent qu'il y ait quelqu'un qui vienne, mais sinon nous on n'est pas très bien déprésenté par rapport à la politique, et on ne peut pas attendre jusqu'à ce qu'ils arrivent.
C'est un peu mon expérience. Et c'est pour ça que c'est à nous de leur expliquer, montrer quels sont les besoins. Et là je suis d'accord avec toi, il faut vraiment sortir les chiffres, et c'est pas juste pour ça que je les ai, il faut faire des recherches là-dessus.
mais on a des publications. Après, il faut toujours adapter pour la Suisse, on n'est pas l'UK. Mais je pense que les défis qu'ils ont envisagés il y a 20 ans ou 15 ans en arrière, en Allemagne, ils ont les mêmes problèmes, mais ils sont un peu plus près que nous.
C'est exactement ça. Parce qu'on est formés, et on les forme extrêmement très bien, très bon, très performants pour des NACA 4 supérieurs. Ça, ils sont top, mais la majorité, on sait, c'est 80%, 75 à 80%, c'est des NACA 3 et inférieurs. En fait c'est un besoin de la société, un système, et nous on fait partie de ce système et c'est à nous je pense aussi d'adresser ces problèmes. Donc moi je dirais que je ne suis pas d'accord avec le sens que oui ça fonctionne encore, et je pense que ça ne va pas fonctionner longtemps, parce qu'on aura toujours un peu les ressources, et on paye, on a un système très cher en Suisse, un peu meilleur mais c'est très cher, et pour l'instant on paye, mais ce n'est pas je pense l'objectif de laisser ça status quo.
Et je pense que l'un des parcours qu'on voit, c'est que si on veut finir la chaîne de formation après, d'évolution, évaluation et de continuer, pour moi, il n'y a pas d'autre chemin que de rentrer dans les autres écoles, tout à l'heure. Si on veut faire la comparaison avec les soins, je trouve que ça s'est passé mal parce qu'ils sont très près de notre profession, ils sont là depuis un peu plus longtemps que nous, et en tout cas, la Suisse romande c'est beaucoup HES, il n'y a carrément pas d'ES, et là on voit qu'ils ont réussi à développer justement ces besoins, ils ont besoin des pratiques,
Pour le patient, ils ont eu besoin de l'académie. Et là, ils ont réussi à faire jusqu'à des PhD, parce qu'il faut qu'on se concentre sur les recherches sur notre domaine. Et ça, ça nous permet d'avoir des chiffres, des arguments pour démontrer. Et si finalement après, on dit qu'on veut changer le système, on veut adapter les rôles,
Urgent Care Advanced Paramedic, c'est un concept Advanced Care, Advanced Practice qui est très connu. Mais dans la littérature, c'est assez évident que c'est toujours un Master qui est voulu. Il y a des exceptions, mais le gros, c'est le Master of Science.
Et c'est pour ça que moi, je m'investis, les solutions peuvent être n'importe comment. Il faudra que l'on monte, parce que finalement, ça devrait être payé. Donc, les politiciens doivent être convaincus, aussi avec des chiffres. Et souvent, c'est toujours avec l'économie.
Donc, si on peut leur démontrer que si on est en train d'éviter des hospitalisations, parce qu'on a des spécialistes qui sont masse octobrés, ils arrivent à traiter et garder à la maison et d'éviter des hospitalisations. Pour former ces gens et adapter le système, il faut rentrer dans le Master of Science. Et on peut dire qu'on laisse comme ça et qu'après on fait des figures.
Pour m'assurer de continuer, CAS, DAS, MAS, ça ne va jamais être l'équivalent. Et par la loi en Suisse, ce n'est pas possible, même si tu fais 10 MAS, tu ne pourras jamais faire un PHD, ce ne sera jamais équivalent et reconnu. C'est pour ça qu'il faut une fois rentrer.
Donc ça c'est un peu les appuis que j'ai. Oui, ils sont bien, ils sont bien. Je pense que si, pour continuer dans la stimulation un petit peu comme ça, Il y a d'autres professions qui s'intéressent aux soins primaires, aux soins communautaires des infirmiers, se spécialisent, deviennent cliniciens, ont de l'autonomie, prescrivent...
Finalement, est-ce que c'est les ambulanciers qui doivent aussi intégrer cette part de travail ou est-ce qu'au contraire, ils doivent se concentrer sur leur activité, leur quotidien ? Ça c'est un argument. Les compétences clés, tu veux dire, donc vraiment pour les urgences, les engager pour les urgences ? Par exemple, oui. Par exemple, versus cet aspect collaborative vision du système de santé où en fait, on est quand même...
plusieurs corporations à travailler sur un terrain qui est commun, pas si bien défini ni d'un côté ni de l'autre, mais peut-être c'est d'autres personnes qui peuvent, qui sont intéressées, qui font les mêmes réflexions que nous aujourd'hui pour occuper cette place-là.
Et puis l'autre chose, mais ça c'est un truc, on en parlera quand tout le monde sera là, mais tu parles des études au Royaume-Uni, en Australie, qui ont démontré la plus-value économique. Eh bien, à mon avis... si il fallait faire quelque chose, investir quelque part, à mon avis ce serait pour cette étude-là.
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